Masterclass avec Jean-Marie Schaeffer, 27 novembre 2017

Au programme de la 11e édition des Rencontres Internationales Sciences & Cinémas (RISC), une masterclass avec Jean-Marie Schaeffer sur le thème “Perception et connaissance : le cinéma comme ressource cognitive”.

La masterclass se penchera sur la question de savoir si le dispositif filmique comme tel – c’est-à-dire le flux perceptif intentionnellement organisé peut avoir une force cognitive propre, ou si cette force réside uniquement dans les contenus transmis et donc indépendants en tant que tels du médium qui les transmet. Les exemples seront pris dans le cinéma documentaire tout autant que de fiction et iront des travaux pré-cinématographiques de Muybridge et de Marey jusqu’aux films du Sensory Lab de Castaing-Taylor et Paravel en passant par Vertov, Eisenstein et d’autres.

Intervenant
Jean-Marie Schaeffer, directeur d’études EHESS, directeur de recherche CNRS, spécialiste d’esthétique philosophique et de théorie des arts.

Partenaires
Rencontres Internationales Sciences & Cinémas (RISC)
La Fabrique des écritures / Centre Norbert Elias
EHESS Campus Marseille
Master Pro Métiers du film documentaire (Aix-Marseille Université)

Informations pratiques
27 novembre 2017, 14h00-17h00, Bibliothèque départementale des Bouches-du-Rhône, Marseille.
Entrée libre.

Projection : Une jeunesse allemande, 20 octobre 2016

Projection suivie d’un débat en présence du réalisateur Jean-Gabriel Périot, de Jean Boutier (historien – EHESS/CNE) et Boris Pétric (anthropologue – CNRS/CNE).

Entrée libre
20 octobre 2016, 17h00-21h00
Cinéma Le Miroir, La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille

A propoe du film
La fraction Armée Rouge (RAF), organisation terroriste d’extrême gauche, également surnommée la « Bande à Baader » ou groupe « Baader-Meinhof », opère en Allemagne dans les années 70. Ses membres, qui croient en la force de l’image, expriment pourtant d’abord leur militantisme dans des actions artistiques, médiatiques et cinématographiques. Mais devant l’échec de leur portée, ils se radicalisent dans une lutte armée, jusqu’à commettre des attentats meurtriers qui contribueront au climat de violence sociale et politique durant « les années de plomb ».

 

Projection : Linefork, 30 septembre 2017

Projection du film Linefork , en présence du co-réalisateur Jeff Daniel Silva, au cinéma Les Variétés, le samedi 30 septembre 2017 à 20h30.

Jeff Daniel Silva est un réalisateur, professeur et programmateur originaire de Boston, membre correspondant au Centre Norbert Elias.

Linefork (Jeff Daniel Silva et Vic Rawlings, États-Unis – 2016 – 1h36)

Lee et Opal vivent à Linefork, dans le Kentucky, une zone rurale pauvre, connue pour son passé ouvrier et sa nature dévastée par l’industrie du charbon. Ils vivent de ce qu’ils produisent. Cependant, Lee est un lien vivant avec l’histoire de la musique américaine. C’est une légende oubliée du banjo et un mineur à la retraite qui n’entend presque plus. Pourtant, il continue de jouer dans les bals et d’enseigner son style à part à une nouvelle génération désireuse de préserver ces traditions en danger. On a gardé une trace de la “puissance brute” de son banjo sur le légendaire Mountain Music of Kentucky produit par Smithsonian/Folkways. Lee est aussi apparu dans le film hollywoodien Nashville Lady. Mais malgré sa gloire passée, Lee est le dernier de sa lignée. La mémoire vivante d’un héritage culturel. Linefork suit sur plusieurs années la vie quotidienne de Lee et Opal. Leur résistance et leur dignité, même si leur corps s’affaiblit jour après jour.

Plus d’informations : https://linefork.com

Les enjeux épistémologiques de l’écriture en sciences sociales (2017-2018)

Un séminaire du Centre Norbert Elias coordonné par Isabelle Brianso, Stéphane Durand, Céline Lesourd, Emmanuel Pedler, Boris Pétric, Jean-Christophe Sevin, Valeria Siniscalchi

L’écriture constitue un enjeu épistémologique fondamental dans l’approche qualitative de la vie sociale. Les réflexions sur la construction du récit et de la narration, le statut accordé à la description, l’incarnation d’une analyse sociologique par des acteurs sont des questions déterminantes pour penser aussi bien des enjeux autour de l’objectivité et de la représentativité que l’éthique du chercheur construisant et justifiant ses données empiriques. Ce séminaire sera l’occasion de revenir sur la diversité des stratégies narratives en histoire, en sociologie et en anthropologie tout en interrogeant les renouvellements actuels des écritures.

Calendrier des séances

20 novembre 2017
Stéphanie Fonvielle et Jean-Paul Fourmentraux  Réflexions croisées sur les processus textuels et les écritures numériques

Stéphanie Fonvielle (Aix-Marseille Université, Centre Norbert Elias) : Traces et repentirs d’écriture
La linguistique de l’écrit et la génétique des textes envisagent l’écriture comme un acte et un processus de création, et déplacent l’analyse des écrits « de la structure vers les processus, de l’œuvre vers sa genèse » (Pierre-Marc de Biasi, 2011). Plus particulièrement, la génétique des textes analyse les modifications successives d’un écrit à partir de ses variantes (brouillons, manuscrits, épreuves, bon à tirer, rééditions, etc.). Toute trace de reprise du texte est donc rapportée à une gestuelle ou une pratique d’écriture ; le scripteur efface, substitue, déplace ou ajoute des segments de longueur variable. A travers des fragments d’écritures littéraires (Proust, Dard) et ordinaires (correspondances de Poilus peu lettrés), nous verrons dans quelle mesure ces traces, parfois repentirs, aident à restituer la temporalité de l’écriture et invitent à interpréter les bifurcations du texte comme des nœuds de tension, des effets de normes ou d’(auto-)censure.

Jean-Paul Fourmentraux (Aix-Marseille Université / Centre Norbert Elias) : Art et Science. Écritures et valeurs de l’interdisciplinarité
Cette présentation portera sur la manière dont la création artistique et la recherche technologique, qui constituaient autrefois des domaines nettement séparés et quasiment imperméables, sont aujourd’hui à ce point intriqués que toute innovation au sein de l’un intéresse (et infléchit) le développement de l’autre. Dans les nouveaux laboratoires de la création artistique et informatique – Ircam, Hexagram, Lip6, Cnam, Orange Labs – des œuvres hybrides rendent irréversible le morcellement des anciennes frontières opposant art et science. Car en articulant des contributions interdisciplinaires, l’art numérique instaure en effet un morcellement de l’activité créatrice et des modes pluriels de désignation de ce qui fait œuvre. Les logiques de conception et la régulation du travail qui en découlent étant désormais orientées vers une pluralité d’enjeux : exposition (artistique), invention (technologique) et connaissance (académique). L’examen de ces évolutions en France et au Canada révèle de nouvelles manières de faire œuvre commune et soulève plusieurs questions : l’art peut-il faire l’objet d’une recherche ? L’écriture informatique peut-elle, elle-même, recouvrir une dimension théorique et devenir un enjeu de création ? L’interdisciplinarité mise en jeu s’accompagne-t-elle d’une transformation des modes d’attribution et de valorisation des œuvres partagées entre art et science ?

8 février 2018
David Redmon (University of Kent)

19 mars 2018

5 avril 2018

Centre Norbert Elias – EHESS Marseille
La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002  Marseille

Plus d’informations : https://enseignements-2017.ehess.fr/2017/ue/1578

 

Observer, décrire, interpréter. Photographie, cinéma et sciences sociales (2017-2018)

Un séminaire de l’EHESS Marseille, coordonné par Marco Barbon, Pierre-Léonce Jordan, Boris Petric, Jeff Daniel Silva et Franco Zecchin.

L’objectif de ce séminaire est d’approfondir la place de la photographie et du cinéma dans les enquêtes de terrain et dans l’élaboration de textes anthropologiques et sociologiques, en tant que formes narratives. Les photographies ainsi que les documents filmiques sont souvent, à tort, considérés comme une simple illustration des recherches scientifiques, sans prendre suffisamment en compte leur dimension intrinsèque d’outil de recherche et leur capacité à enrichir la narration socio-ethnographique. Pour ce faire, il faut transformer le regard du chercheur en capacité de vision, former l’œil à saisir les liens entre les choses, à les mettre en relation, selon l’ordre de sens de la réalité observée. La photographie et le cinéma constituent un outil irremplaçable de déconstruction du regard et d’identification des codes qui opèrent dans les diverses situations sociales. A travers l’analyse de films et de travaux des photographes, ce séminaire se proposera cette année d’aborder plus particulièrement le rapport de l’homme avec son milieu.

Au fil des séances, différentes formes d’enquête et de narration seront analysées. Après une séance introductive le mardi 7 novembre, les séances suivantes auront une cadence hebdomadaire chaque jeudi et seront l’occasion pour explorer les interactions du cinéma et de la photographie avec la recherche en sciences sociales. Nous débattrons de plusieurs façons d’approcher le terrain de recherche, en montrant le travail d’auteurs cinéastes et photographes invités mais aussi des exemples extraits de l’histoire de l’anthropologie visuelle. Nous aborderons les différents thèmes : les méthodes d’observation, réflexivité et pratiques d’engagement, sensorialité et expérience inclusive, archives et mémoire, les rapports entre art et artifice, vérité et fiction documentaire.

Calendrier 2017 – 2018

7 novembre 2017  – 14h00-17h00
Séance introductive

16 novembre 2017 – 14h00-17h00
L’avènement de l’imagerie numérique en sciences sociales
Pierre-Léonce Jordan

23 novembre 2017 – 16h00-19h00
Engagement et réflexivité
Yohanne Lamoulère – Les quartiers nord de Marseille

jeudi 7 décembre 2017 – 14h00-17h00
Esthétique et critique sociale
Franco Zecchin – Une enquête sur la Mafia en Sicile

14 décembre 2017 – 14h00-17h00
Fiction / Documentaire
Effi & Amir – The same river twice

11 janvier 2018 – 14h00-17h00
Archive et mémoire
Anouk Durand – Amitié éternelle

18 janvier 2018 – 14h00-17h00
Fiction / Documentaire
Ymane Fakhir – L’héritage

25 janvier 2018 – 14h00-17h00
Sensorialité et immersion
Jeff Daniel Silva – Sensory Ethnography Lab (SEL)

Centre Norbert Elias – EHESS Marseille – Salle A, 2e étage
La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002  Marseille

Ouverture de l’exposition : La Canebière. Espace urbain en transformation, 22 juin 2017

Exposition des travaux des étudiantes, des doctorantes et chercheuses qui ont participé à de l’atelier “Photographier le territoire”, encadré par les photographes Marco Barbon et Franco Zecchin.

L’objectif de cet atelier méthodologique était d’expérimenter la photographie comme source de connaissance, en introduisant les participants à l’exercice visuel et en les amenant à amplifier les potentialités sensorielles afin de saisir la complexité visuelle de l’espace. Chaque participant a développé une approche personnel au terrain, selon sa sensibilité et sa capacité d’observation et de description à travers l’image. L’espace urbain a été présenté et analysé par différentes formes narratives : les interactions entre individus et leur relation à l’environnement, la marchandisation de la rue et les usages de consommation, le partage de l’espace public, entre mobilité et fixité, les formes de marginalité, la vidéosurveillance, la présence animale et végétale.

Ces séances pratiques, proposées par la Fabrique des écritures, s’inscrivent dans le séminaire de recherche de l’EHESS Marseille « Observer, décrire, interpréter. Photographie, cinéma et sciences sociales » (Enseignement 2016-2017).

Les photographes

Rim Affaya – Ages et usages de la Canebière
Claire Bouillot – Biodivercités
Krista Harper – Surveillance
Johanna Locatelli – Réflections : la Canebière et son double
Cecilia Paradiso – Vies d’un espace
Anne-Laure Romieu – La Canebière marginale, entre traces et regards
Marjorie Ruggieri – Passages

Le vernissage aura lieu le jeudi 22 juin de 16h00 à 18h00 au Centre de documentation en Sciences Sociales de la Vieille Charité, La Vieille Charité, 1er étage, Marseille

Présentation de l’exposition “Secret” par Olivier Schinz, 11 mai 2017

Un nouveau “Rendez-vous de la Fabrique”, avec Olivier Schinz, anthropologue et conservateur au Musée d’ethnographie de Neuchâtel, qui commentera la narration de l’exposition “Secret”, une série d’installations présentées dans des lieux publics en 2015.

Jeudi 11 mai 2017 de 16h00 à 19h00
Cinéma “Le Miroir”
La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille
Entrée libre

Masterclass “Images en sciences sociales”, 6 avril 2017

Une journée “Images en sciences sociales” coordonnée par la réalisatrice et anthropologue Laetitia Merli, proposée dans le cadre des 4e Rencontres documentaires “Mondes en images” de Cucuron : découverte des métiers du documentaire, présentation de travaux d’étudiants, projection de films documentaires.

Au programme


10h30

Présentation du master “Métiers du documentaire” (Université Aix-Marseille), en présence de Pascal Cesaro et Baudouin Koenig
Projection de courts métrages sur le travail et sur l’engagement politique de la jeunesse aujourd’hui, suivie d’une discussion avec les étudiants et enseignants du Master.


13h30

Présentation du master “Cinéma anthropologique et documentaire” (Université de Nanterre) en présence de Gilles Rémillet
Projections :
L’Immatériau (Assia Piqueras, 2015)
Ce sont les images d’un lieu habité qui, dans le récif de ses murs, met l’observation filmique à l’épreuve d’une observance monastique.

Dognat
(Mikael Rabetrano, 2014)
Antananarivo, capitale de Madagascar. Les méandres de la ville regorgent de scènes de vie. C’est dans un de ses quartiers, dans un chaos de maisons, de briques et de tôles qu’une communauté de quelques « hommes efféminés », Balou, Rado, Didi, No Mamy et Lova, vivent sous le nom argotique de Dognat.

Prophète(s)
(Damien Mottier, 2007)
Placide est un jeune homme né en Côte d’Ivoire. Il a 26 ans, étudie l’économie, mais n’aspire qu’à une chose : évangéliser la France.


16h30

Présentation des travaux d’étudiants réalisés au cours des ateliers photographie et cinéma documentaires de la Fabrique des écritures, menés dans la cadre du master “Recherches comparatives en anthropologie, histoire et sociologie” (EHESS Marseille), avec Laetitia Merli et Franco Zecchin.


20h00

Projections (en partenariat avec le CNRS Images) :
Shaman tour (Laetitia Merli, 2009)
En présence de la réalisatrice. La Mongolie qui est restée longtemps fermée aux voyageurs, s’ouvre aujourd’hui au marché libéral et est visitée par des touristes du monde entier. Quelles sont les interactions entre les touristes et les éleveurs nomades, les uns rêvant d’un monde «authentique», peuplé de rennes et de chamanes, les autres s’ouvrant au capitalisme et rêvant de la société de consommation ? Le film présente le point de vue d’une famille d’éleveurs de rennes dont la mère est une chamane réputée et qui aujourd’hui vit essentiellement des retombées du tourisme.
Laetitia Merli est anthropologue et réalisatrice de documentaires, chargée de mission à la Fabrique des écritures, membre associé du Centre Norbert Elias, spécialiste du chamanisme et des pratiques psycho-corporelles.

Esprits des trois sommets (Ksenia Pimenova, 2016)
En présence de la réalisatrice. Dans un village de la république de Touva (Russie), une chamane russe perpétue les traditions religieuses locales au sein des Trois Sommets, une association qu’elle mène avec Anya et Baazan, veuve du grand chamane Kyrgys Huurak dont elle fut disciple. Outre les grands rituels, Véra donne des consultations privées. Elle pratique divinations, purifications et divers rituels de cure, écoute et conseille ses patients. Dans un contexte en pleine mutation, entre conflits de pouvoir et compétition avec d’autres courants religieux tel que le bouddhisme, les trois femmes tentent de maintenir à flot leur association.
Née à Moscou en 1977, Ksenia Pimenova obtient, en 2012, un doctorat en sociologie à l’École des hautes études en sciences sociales, avec une thèse sur le renouveau du bouddhisme et du chamanisme chez les Touvas de Sibérie du Sud. Elle est actuellement postdoctorante au Musée du quai Branly et membre associée au Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (Ecole pratique des hautes études). Esprits des Trois Sommets est son premier documentaire.


Informations pratiques

Cinéma Le Cigalon, Cucuron, 16h30-23h00
Ouvert à tous et gratuit

Illustration : extrait de l’affiche des 4e Rencontres documentaires “Mondes en images”

Présentation : Séducteurs de rue, 9 mars 2017

Mélanie Gourarier, anthropologue, prend comme objet d’étude la séduction pour comprendre la masculinité comme productrice de rapports sociaux. Son travail de recherche a été adapté en bande dessinée par Léon Maret (Séducteurs de rue, 2016) dans la collection Sociorama Casterman.

Mélanie Gourarier et Léo Maret viennent échanger sur leur collaboration. Le binôme qu’ils ont formé a contribué à définir les choix éditoriaux de la collection axés sur l’adaptation, la fiction et la disparition de l’enquêteur du récit, et dont l’originalité réside dans les collaboration qu’elle suscite entre dessinateurs et chercheurs en sciences humaines.

Intervenants
Mélanie Gourarier, anthropologue, chargée de recherche au CNRS, membre du Laboratoire d’études de genre et de sexualité (LEGS)
Léo Maret, auteur de bande-dessinée

Informations pratiques
9 mars 2017, 16h00-19h00
Cinéma Le Miroir, La vieille Charité, Marseille

Projection : Histoire vraies signées, 11 mars 2017

Projection du film documentaire Histoires vraies signées en présence de la réalisatrice, Laura Taubman. Filmées entre octobre 2016 et mars 2017, ces dix histoires vraies en langue des signes lui ont été contées par des personnes issues de la communauté sourde marseillaise. Restitués tels que racontés, ces courts récits rassemblent des moments de vies importants, des souvenirs intimes, drôles et mémorables. Diffusion suivie d’un débat.

Histoires Vraies Signées est une production La Fabrique des écritures, en collaboration avec l’ASIP, service d’interprètes en langue des signes et sur une proposition de l’association Histoires Vraies de Méditerranée, qui a pour objet de collecter des histoires auprès des habitants, avec un collectif d’auteurs, artistes et chercheurs accueillis en résidence.

Intervenants
Laura Taubman, réalisatrice et doctorante en anthropologie visuelle Centre Norbert Elias (EHESS Marseille)
Fabienne Guiramand, interprète de l’ASIP Sud, service d’interprètes Français/Langue des Signes Française (LSF).
Christian Coudouret, président de l’association Coordination des Associations de Sourds 13 (CAS 13).
Marie Dominique Russis, responsable de l’Association Histoires vraies de Méditerranée.

Informations pratiques
Samedi 11 mars 2017 de 14h00 à 18h00
Villa Méditerranée, Marseille
Interprétation français LSF assurée par l’ASIP.