Premier Prix du jury pour Camilo Leon-Quijano au concours photo l’Anthropologie en partage

Camilo Leon Quijano a remporté le Premier prix du concours photo organisé par l’INSHS dans le cadre du focus “L’anthropologie en partage » pour son projet  : Une photo-ethnographie dans la cité.

La Direction de l’Institut des sciences humaines et sociales (InSHS) du CNRS a proposé en 2022 un focus sur l’anthropologie sociale et culturelle. L’objectif était d’offrir plus de visibilité aux recherches en anthropologie et de donner à voir la diversité des approches et des travaux qui font la richesse de cette discipline. La thématique choisie pour ce focus est « l’Anthropologie en partage ». Dans ce cadre, l’InSHS a lancé en juillet 2022 un concours photo consacré aux images de terrain, réalisées dans le champ de l’anthropologie sociale et culturelle. 

A propos de l”anthopologie en partage :
https://www.inshs.cnrs.fr/fr/lanthropologie-en-partage
Les résultats du concours photo :

https://www.inshs.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/resultats-du-concours-photo-lanthropologie-en-partage

Expo-photo : La cité. Une anthropologie photographique de Camilo León-Quijano

Du 11 octobre au 16 décembre la Maison de l’Architecture et de la Ville PACA accueille une exposition du photographe et anthropologue franco-colombien Camilo León-Quijano, actuellement chercheur
postdoctoral en anthropologie visuelle au CNRS (Centre
Norbert Elias / La Fabrique des écritures). Le photographe explore la construction sociale de ce qu’il nomme une communauté imagée dans l’une des villes symboles des banlieues françaises. 

La série nomméeLa Cité : une anthropologie photographique” est le résultat d’une immersion ethnographique et photographique qui a eu lieu entre 2015 et 2018 à Sarcelles. La démarche sensible mobilisée s’intéresse au quotidien de celles et ceux qui habitent la ville. Mêlant textes, sons, photographies et archives, l’exposition explore les formes de voir, de penser et de représenter la cité.

La Fabrique des écritures est partenaire de l’événement.

 

Affiche-Expo-La-Cité

Infos pratiques
11.10.22 – 16.12.22
MAV PACA/Ordre des architectes PACA
12 Bd Theodore Thurner Marseille
Entrée libre du lundi au vendredi, 9h00-13h00 / 14h00-17h00

lacite.org
04.96.12.24.10
contact@mavpaca.fr

Vernissage : 11/10/ 2022 – 19h00.
Finissage : 16/12/2022 – 18h00.

Journée de restitution des ateliers Photographie et Cinéma documentaire, Marseille, 23 juin 2022

Jeudi 23 juin à la Vieille Charité, les étudiants de master “Recherches comparatives en anthropologie, histoire et sociologie” de l’EHESS (campus Marseille)  présentent les travaux qu’ils ont réalisés cette année au cours des ateliers “Cinéma documentaire” et “Photographie” organisé avec la Fabrique des écritures (Centre Norbert Elias). La restitution aura lieu de 14h à 16 à la Vieille Charité à Marseille.

Coordonnés par les photographes Marco Barbon et Franco Zecchin et le réalisateur Jeff Daniel Silva, les ateliers visent à approfondir l’expérience pratique de la photographie, la prise de son et le cinéma dans les sciences sociales, ainsi qu’à expérimenter ces media comme source de connaissance.

Depuis 2019, ces deux ateliers travaillent sur la thématique du festival Allez Savoir,  dont la programmation intègre l’exposition photographique et la présentation des courts métrages réalisés par les étudiants. Cette année, les étudiants ont travaillé sur la thématique du temps dans le cadre de l’édition #3 du festival “A contre-temps” qui se tiendra à Marseille 21 au 25 septembre 2022.

14h00, cinéma le Miroir, rez-de-chaussée 

  • Présentation des travaux de l’atelier cinéma documentaire “Éclats de temps”, coordonné par Jeff D. Silva :
    De Saison, réalisé par Florence Boux, Laura Froger et Violette Delisle
    Tempoeira réalisé par Xiaoqing Mail et Maria Emilia Escamilla
    Un temps réalisé par Dominique Bordes
  • Présentation du diaporama “Temporalités” issu de l’atelier photographique coordonnée par Marco Barbon et Franco Zecchin, avec la participation cette année, d’Alexa Jacobo Inclán, Marius Maillet, Lou Méteau, Angèle Petrelli, Jade Pires, Amandine Poirson, Cheyenne Seneca, Julien Tartarin).

15h30, coursives du 1er et 2e étages 

  • Vernissage et visite de l’exposition photographique “Temporalités”, qui sera visible jusqu’au 30 octobre 2022.
Crédit photo : Lou Méteau

M – le magazine du Monde présente le porftolio documentaire de Marco Barbon sur la prison des Baumettes

Les Baumettes (2019-2020). Les quatre bâtiments de la maison d’arrêt historique des Baumettes à Marseille, construits entre les années 1930 et la dernière décennie du 20ème siècle et définitivement abandonnés le 28 juin 2018, vont bientôt être détruits pour laisser la place à une nouvelle structure pénitentiaire, dont la construction est annoncée pour 2021.
Ce travail documente, avant leur disparition, les lieux et les traces de la vie des détenus et des surveillants qui ont fréquenté cette prison.
Il a été réalisé en parallèle de l’atelier photo de l’EHESS en partenariat avec la Fabrique des écritures.

Le travail de Marco Barbon est représenté par la Galerie Clémentine de la Féronnière (Paris) et par la Galerie 127 (Marrakech). Une sélection de ses images est visible aussi sur la plateforme Documents d’artistes PACA

Enfermement : les Baumettes historiques. Exposition photo, 1er oct.-15 déc. 2020

Exposition collective des photographies de l’ancienne prison des Baumettes à Marseille, du 1er octobre au 15 décembre 2020, la Vieille Charité, Marseille. Entrée libre.

Cette exposition est issue de l’atelier photographique organisé par le master « Recherches comparatives en anthropologie, histoire et sociologie » de l’EHESS à Marseille, et la Fabrique des écritures (Centre Norbert Elias). Coordonné par Marco Barbon et Franco Zecchin, l’atelier approfondit l’expérience de la photographie et de ses usages dans les sciences sociales, avec l’objectif d’expérimenter la photographie comme source de connaissance, outil d’enquête et de narration.

L’enquête s’est déroulée dans les bâtiments de la prison historique des Baumettes, construits dans les années 1930 et qui seront démolis pour laisser la place à un nouvel édifice pénitentiaire, les Baumettes III, prévu pour l’année 2021.

Ces constructions vides, laissées en l’état au moment de leur abandon, présentent une incomplétude qui stimule l’imaginaire. Chaque cellule a la même taille et la même configuration, mais elle a été aménagée et décorée différemment par ses occupants. La sérialité fait apparaître, de façon plus évidente, les traces des goûts, des modes de vie, des différentes manières d’exister, jour après jour, dans un espace confiné.

Chaque participant à l’atelier a développé une approche personnel au terrain, selon sa sensibilité et sa capacité d’observation et de description à travers l’image.

Les espaces de l’enfermement ont été rendus sous différentes formes narratives : l’organisation du dispositif de surveillance, la perception du temps dans l’incarcération, le désordre des matériaux abandonnés après le déménagement, les métaphores des aliments consommés par les prisonniers, l’attention au soin corporel contre l’aliénation de la condition pénitentiaire, l’importance affective des objets du quotidien, le rapprochement entre consommation muséale et témoignages inscrits sur les murs, la perception de l’enfermement comme incitation à la fuite.

Ces entrées donnent à voir l’enfermement à travers ses traces, témoignages des individus qui l’ont vécu.

Photographes
Hussam Abed,
Mouaz Alfakeer,
Mathieu Anselmet,
Noémie Christen,
Sevin Keklik,
Perrine Kempf,
Flavio Parrinello,
Olivier Piraud-Medina,
Diego Santalla.

Infos pratiques
L’exposition est visible à la Vieille Charité, Marseille, coursives du 1er étage. Du mardi au dimanche, 9h00-18h00. Entrée livre.
Une présentation des travaux aura lieu au cinéma Le Miroir (RdC) le jeudi 1er octobre à partir de 16h00, en lien avec la semaine de rentrée de l’EHESS. En raison des conditions sanitaires, il n’y aura pas de vernissage dans les coursives.

Image : © Noémie Christen.

Exposition des photographies de Kelley Sams, La Vieille Charité, 7 oct.-6 déc. 2019

Anthropologue de la santé, Kelley Sams a travaillé au Centre Norbert Elias de 2014 à 2008 dans le cadre du projet ANR VIPOMAR sur la vie politique des marchandises. Elle présente aujourd’hui une exposition de photographies sur les relations sociales et politiques provoquées par la circulation des médicaments chinois à base d’artemisinine aux Comores.

Les médicaments à base d’artemisinine

Cette exposition propose une réflexion sur la circulation des médicaments à base d’artemisinine et s’appuie sur les résultats de recherches ethnographiques menées en Chine, à Genève, et aux Comores.
L’artemisinine comme traitement du paludisme a émergé d’une initiative de l’État chinois dans les années 1970 qui cherchait à développer un traitement efficace basé sur la médecine traditionnelle chinoise. Les médicaments à base d’artemisinine sont apparus sur le marché global au début du 21e siècle après avoir été bloqués par des politiques nationales et internationales pendant presque 30 ans. Actuellement, ces médicaments sont recommandés par l’OMS comme traitement du paludisme simple, mais leur circulation et utilisation sont soumises à des tensions liées à la diversité des représentations et systèmes de régulations des différents acteurs impliqués.

La lutte contre le paludisme aux Comores

Cette « invention chinoise », depuis sa mise sur le marché, fait l’objet de nombreux débats.  Ces débats portent notamment sur les « bonnes » conditions de son utilisation, sur le niveau de qualité attendu de la part des différents producteurs, ou encore ils concernent les conditions de la mise sur le marché et la fixation du prix de ces médicaments subventionnés par les agences et gouvernements impliqués. Dans l’Union des Comores, une distribution de masse gratuite et obligatoire des médicaments à base d’artemisinine a été menée par l’État chinois dans une lutte visant à éliminer le paludisme entre 2007-2015. Cette stratégie de distribution de masse, permettant de traiter toute la population, a provoqué de nombreux débats au sein de la communauté internationale, notamment avec l’OMS. Cependant, cette stratégie qui était également accompagnée par une politique de retrait de tous les médicaments antipaludiques du marché pharmaceutique privé, a permit de réduire drastiquement le taux de prévalence du paludisme aux Comores.

La Chine nouvelle autorité médicale en Afrique

Cette exposition explore les relations sociales et politiques internationales provoquées par la circulation des médicaments à base d’artemisinine. La recherche VIPOMAR  explorait en particulier le rôle de l’État chinois en tant qu’acteur dans la lutte transnationale contre le paludisme à travers le cas de la distribution des médicaments antipaludiques aux Comores. Pour les populations qui gèrent leur santé et traitent la maladie dans le contexte de l’Afrique postcolonial, le changement de statut de la Chine comme nouvelle autorité médicale amène vers un nouvel imaginaire de la santé publique et vers un changement plus large dans les relations géopolitiques.

A propos de la photographe

Kelley Sams est actuellement chercheure invitée à l’Université de Floride où elle dirige un programme de recherche sur l’utilisation des arts en santé publique. Elle a été rattachée au Centre Norbert Elias entre 2014 et 2018 où elle a participé au projet ANR VIPOMAR « La vie politique des marchandises » dirigé par Boris Petric. Ses travaux de recherche multi-située s’articulent en trois grands axes en anthropologie de la santé: 1) les effets sociaux et politiques provoqués par la circulation des médicaments ; 2) l’interprétation et transmission des représentations sanitaires ; 3) les impacts sociaux des programmes de santé publique.

Exposition “Poétique et politique de lutte contre le paludisme : élimination des maladies sous l’égide de la Chine aux Comores”.
Vernissage le lundi 7 octobre à 16h30 en présence de Kelley Sams.
Centre de documentation en sciences sociales, 1er étage, la Vieille Charité, Marseille.
Du 7 octobre au 6 décembre 2019. Du lundi au vendredi de 10h00 à 18h00.
Entrée libre.

Exposition Corps, matières, gestes, jusqu’au 15 octobre à la Vieille Charité, Marseille

L’exposition Corps, matières, gestes. Métiers à Marseille est issue de l’atelier photographique et du séminaire “Observer, décrire, interpréter. Photographie, cinéma et sciences sociales”. Coordonné par Marco Barbon et Franco Zecchin, l’atelier approfondit l’expérience de la photographie et ses usages dans les sciences sociales, avec l’objectif d’expérimenter la photographie comme source de connaissance, outil d’enquête et de narration. La thématique choisie cette année a incité les participants à aller à la recherche de métiers artisanaux et à les observer à partir des gestes qui les caractérisent. Les femmes et les hommes qui apparaissent dans ces images montrent leurs tours de main et leur capacité à transformer ce qui à priori semble “naturel”, des matières et des corps.

L’exposition a été réalisée dans le cadre du master (mention ” Recherches comparatives en anthropologie, histoire et sociologie “) et de la formation doctorale en sciences sociales de l’EHESS à Marseille, de la Fabrique des écritures du Centre Norbert Elias et du Festival des sciences sociales “Allez savoir”.

Les photographes
Aurélien Billaut, Laura Botella, Mohamed Elnour, Brigitte Juanas, Guilherme Rodrigues, Olivia Rolin, Aurélie Rondreux et Blandine Salla.

Les commissaires
Marco Barbon et Franco Zecchin

Marseille, La Vieille Charité, du 25 juin au 15 octobre 2019, coursives du 1er étage, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille. Entrée libre.

Image : Blandine Salla

Journée de restitution des ateliers de la Fabrique, Marseille, 25 juin 2019

La journée de restitution des ateliers cinéma, photographie et son 2018-2019 se tiendra le mardi 25 juin à la Vieille Charité. Au programme : séance d’écoute, projection et vernissage. Au plaisir de vous y retrouver.

Cinéma le Miroir, rez-de-chaussée

13h30
Introduction

13h45 – Documentaire sonore – Séance d’écoute
Coup de poing (Laura Taubman)
Tempêtes de papier (Sandrine Musso et Mikaëla Le Meur)
Fragments du moulin (Stéphanie Fonvielle et Mahé Ben Hamed)

14h15 – Cinéma documentaire – Projections
Premier prix technique (Hélène Baillot et Raphaël Botiveau)
Pose (Camille Béguin)
Le pastis et le vin d’abord (Michele Marchioro)
Comment on va dire ? (Morgana Planchais)
Box (Julie Saint-Laurent)

15h45 – Photographie – Diaporama
Travaux réalisés par Aurélien Billaut, Laura Botella, Mohamed Elnour, Brigitte Juanals, Guilherme Rodrigues, Olivia Rolin, Aurélie Rondreux, Blandine Salla et Anna Shcherbakova.

Coursives du 1er étage

16h30 – Photographie – Vernissage
Exposition Corps, matières, gestes. Métiers à Marseille
Photographies de Aurélien Billaut, Laura Botella, Mohamed Elnour, Brigitte Juanals, Guilherme Rodrigues, Olivia Rolin, Aurélie Rondreux et Blandine Salla.
Commissariat : Marco Barbon et Franco Zecchin

Ateliers réalisés dans le cadre de la formation de l’EHESS (mention de master “Recherches comparatives en anthropologie, histoire et sociologie” et formation doctorale en sciences sociales) et des activités de la Fabrique des écritures du Centre Norbert Elias.
Entrée libre – La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille
Illustration : Pose – Camille Béguin

Masterclass avec Vanessa Winship, 31 octobre 2018

Masterclass avec la photographe britannique Vanessa Winship mercredi 30 octobre à l’occasion de la séance d’ouverture du séminaire Observer, décrire, interpréter. Photographie, cinéma et sciences sociales, et dans le cadre des rencontres de photographie contemporaine Des Rives #2.

Après des études en cinéma et photographie à l’école Polytechnic of Central London, Vanessa Winship commence par enseigner la photographie à Londres. Devenue ensuite photographe indépendante, elle rejoint l’Agence VU’ en 2005. Pendant de long séjours dans les Balkans (Turquie, Géorgie et Mer Noire), Vanessa Winship s’intéresse aux concepts de frontière, territoire, histoire et mémoire. Entre portraits et paysages, son travail peut être lu comme une approche documentaire classique, avec une sensibilité et une complexité profondément contemporaines. Son second ouvrage, Sweet Nothings proposait une série de visages d’écolières anatoliennes en uniforme, posant avec une simplicité grave et juste. Ses travaux ont été exposés dans différents musées et festivals : Les Rencontres d’Arles, le Kunsthalle Museum of  Contemporary Art de Rotterdam ou la Photographers’ Gallery de Londres. Ses photographies font notamment partie des collections de la National Portrait Gallery, du Nelson-Atkins Museum et de la Fondation d’entreprise Hermès.
http://www.vanessawinship.com

Centre Norbert Elias/EHESS – La Vieille Charité, 2 rue de la Charité, 13002 Marseille

Vanessa Winship sera également “en conversation” avec Yann Tostain, le vendredi 2 novembre 2018 à 18h30 au Musée d’art contemporain de Marseille (Rencontres “Des Rives #2”).

Illustration : Untitled from the series Black Sea. Between Chronicle and Fiction, 2002-2010 © Vanessa Winship / Courtesy Agence Vu

Des Rives #2 : Rencontres autour de la photographie contemporaine, 11 sept.-22 nov. 2018

Organisé par Le Percolateur, initiative pour la création photographique à Marseille, “Des Rives” est un cycle de rencontres publiques et gratuites, conduites par Yann Tostain, avec des photographes et professionnels de la photographie venant des deux rives de la Méditerranée.

“Des Rives” propose d’interroger des œuvres photographiques afin d’ouvrir un espace de dialogue entre les images, entre ceux qui les font, entre la photographie et ses récits, entre des rives. Un travail pédagogique est mené en collaboration étroite avec les enseignants de plusieurs lycées et écoles de Beaux-Arts de la région, ainsi qu’avec les chercheurs de la Fabrique des écritures (Centre Norbert Elias/EHESS).

Les dates à retenir
– Projection du film documentaire If Only There Were Peace (2017, 30’) de Carmine Grimaldi et Deniz Tortum (États-Unis), suivie d’un débat avec la participation du photographe Stephen Dock
Samedi 27 octobre 2018 à 16h30 au cinéma Le Miroir  (Vieille Charité. Ouvert à tous).
– Intervention de la photographe Vanessa Winship dans le cadre du séminaire “Observer, décrire, interpréter” le 31 octobre (Étudiants de master et doctorants inscrits)

Le programme complet

Illustration : série Black Sea © courtesy Vanessa Winship/ agence VU